La psychogénéalogie est une approche  développée dans les années 1970 par Anne Ancelin Schützenberger, psychologue, psychothérapeute et universitaire française. Elle vise à apaiser le mal-être des personnes qui consultent en leur proposant d’analyser la généalogie dont ils sont issus pour mieux comprendre la place et les missions qui leur ont été léguées par les générations de femmes et d’hommes qui les ont précédé. 

Cette pratique étudie les douleurs, maladies, traumatismes, schémas de pensées, d’actions… sur plusieurs générations. C’est une discipline qui se concentre sur l’étude de la famille et de l’héritage psychologique. 

La psychogénéalogie est une méthode qui accepte l’idée qu’il y a une transmission d’inconscient à inconscient et que les non-dits traumatiques œuvrent toujours dans l’inconscient des descendants. La psychogénéalogie repose donc sur la découverte des événements qui, chez nos ancêtres, pourraient avoir une résonance avec nos propres problèmes. 

Ainsi, la psychogénéalogie s’intéresse à la façon dont nos antécédents familiaux, culturels et sociaux affectent notre développement et notre vie actuelle. 

Elle peut aider à comprendre comment le passé familial peut influencer la façon dont nous nous comportons, pensons et ressentons aujourd’hui. Elle peut être utile au développement personnel et à l’épanouissement des individus.

Cette pratique nécessite  de connaitre les concepts de base et d’avoir effectué un travail sur sa généalogie  pour travailler avec ce champ clinique des transmissions psychiques transgénérationnelles.

Le sentiment d’une plus grande liberté et d’un allègement  ouvrent ainsi des perspectives d’avenir pour à la fois pérenniser les lignées et investir sa créativité de l’héritage généalogique. 

Calou - Formée à la psychogénéalogie en 2012 à l'institut Cassiopé de Chatou